Faut-il présenter AE van Vogt, auteur du cycle des A, A la poursuite des Slans et autres classiques de la SF?
Alors que nombre des auteurs des années 1950 se basaient sur des théories scientifiques plus ou moins fumeuses d'ailleurs, Van Vogt puise dans la sémantique et s'oriente vers le surhomme (ce qui lui fut reproché).
"Un saint dans la galaxie" témoigne de cette double approche.
Des colons doivent s'installer sur une planète où nulle trace de vie n'a été décelée alors qu'une première colonie terrienne a été détruite.
Ils font appel à Mark Rogan a qui l'on prête la possibilité de se déplacer dans l'espace sans vaisseau et qui assurerait une descendance éprise de compréhension de l'altérité au gré de ses voyages.
Hanley, le chef des colons, doit composer avec lui.
Sur la planète il y a bien une vie intelligente constituée d'un réseau dense qui réunit minéraux et végétaux. Aux Terriens de prouver qu'ils peuvent vivre en harmonie avec cette intelligence extraterrestre radicalement différente sous peine d'être exterminés.
Mark Rogan les accompagne dans cette recherche de l'harmonie inter-espèce (on y sent l'annonce du film Avatar tout de même) non sans féconder la femme d'Hanley pour que la prochaine génération de colons puisse comprendre cette forme de vie particulière.
Ce billet est publié dans le cadre du challenge Summer Star Wars lancé par Lhisbei.
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